Digital Artist and Creative Director of Immersive Art Exhibitions


«Create an emotional, musical and visual, immersive and interactive environment; recycling, rehabilitating, sublimating exceptional places through digital art and bringing the public to the heart of a work in which they are, themselves, actors. This is how I could sum up my approach»

About Gianfranco Iannuzzi

A pioneer of immersive artistic installations, for more than 30 years he has held numerous exhibitions in France and around the world.
Since 2010, he has been working with the Culturespaces Company on the development of several Digital Art Centers: in Baux-de-Provence (2012), Paris (2016), Jeju in South Korea (2018), Bordeaux (2019) – to date the largest permanent immersive multimedia installation in the world – Dubai (2021), Amsterdam, Seoul, Tokyo and New York (2022) and Dortmund (2023)

New projects are underway in Hamburg, Madrid, Shanghai and Singapore.

His immersive exhibitions are have been visited by millions visitors.

Portrait

Gianfranco Iannuzzi is Venetian. It all began with the sociology he taught in Venice and the photography he practiced in his various techniques and languages – social or travel reports, portraits, artistic photography.

In the 1980s, a project on the fragmentation, deconstruction and recomposition of the image led him to push the boundaries of photography beyond traditional printed media. He took part in the “Rencontres Internationales de la Photographie” in Arles, where he began to exhibit and experiment with other ways of understanding and staging his images.

At the end of the 1980s, the discovery of an extraordinary site, the quarries of Baux-de-Provence, made a fundamental turning point in his approach and led him, using his original images to develop its artistic installations in a « large » format. Since that time, he continues to invest this place with his new achievements.

«The advanced multimedia technologies available to us, today, have enabled me, over the years, to create and develop a musical and visual environment that is rich, strong, immersive and interactive. It plays with the sensory, the emotional approach, and led the audience at the heart of the show, « on stage”. Moving in a multidimensional space, people becomes an integral part of the work, because the images are everywhere, on the walls, floors, ceilings…»

«With my work, I love to make the public discover exceptional places, with a ‘soul’, a history or a particular architecture. To feel the place is essential, for me, as for the public. Whatever the location, I always try to preserve its specificity, to adapt to its architecture and its original surfaces. I want to capture the « spirit of the place » and bring it to life, sublimating it through the image, and not the other way around».

From the 2000s, he developed this kind of immersive artistic installations, always seeking to place them in exceptional locations: the Atelier Cézanne in Aix-en-Provence, the Lapidary Museum in Narbonne, a disused solar powerhouse (Thémis), the church of Val-de-Grâce (Paris), the Caves (La Balme), the Abbey of San Galgano (Tuscany), an old thermal power station (Leipzig, Germany), and many others.

From the 2010, as creative director of Culturespaces, he realized the new permanent digital museums in several countries: the Atelier de Lumières (Paris), the Bunker des Lumières (Jeju, South Korea), the Bassins de Lumières (Bordeaux), the Fabrique des Lumières in Amsterdam, Infinity the Lumieres (Dubai), the Theatre des Lumières in Seoul, the Hall des Lumières In New York, the Phoenix
des Lumières in Dortmund and the Port des Lumières in Hanburg.

From 2022, he starts a new collaboration with the Kadokawa Culture Museum in Tokyo, where he is creating a new exhibition every year.

“From the end of the 80s to now I never stopped creating new immersive installations by integrating new technologies to provide an ever-growing public with the opportunity to experience art in a more emotional way.

I hope that more and more people will enjoy art through this new kind of immersive and socialising experience.”


«Créer un environnement émotionnel, musical et visuel, immersif et interactif ; recycler, réhabiliter, sublimer des lieux exceptionnels par l’art numérique pour amener le public au cœur d’une œuvre dont il est lui-même acteur. Voilà comment je pourrais résumer ma démarche»

À propos de Gianfranco Iannuzzi

Précurseur dans la création d’installations artistiques immersives depuis 30 ans, il a réalisé de nombreuses expositions en France et à l’international.

Depuis 2010 il travaille avec la Société Culturespaces au développement de Centres d’Art Numérique aux Baux-de-Provence (2012), Paris (2016), Jeju en Corée du Sud (2018), Bordeaux, à ce jour la plus grande installation multimédia immersive permanente au monde (2020), Dubai (2021), Amsterdam, Seoul, Tokyo, New York (2022) et Dortmund (2023).

De nouveaux projets sont en cours de réalisation à Hambourg, Madrid, Shanghai et Singapore.

Ses expositions et installations immersives ont été visitées par des millions de spectateurs.

Portrait

Gianfranco Iannuzzi est vénitien. Tout commence avec la sociologie qu’il a enseigné à Venise et la photographie qu’il a pratiqué dans ses différentes techniques et langages –reportage social ou de voyage, portraits, photo artistique.

Dès les années 80, un projet sur la fragmentation, déconstruction et recomposition de l’image le conduit à repousser les frontières de la photographie au-delà des supports imprimés traditionnels. Il intervient aux Rencontres Internationales de la Photographie d’Arles, commence à exposer et à expérimenter d’autres façons d’appréhender et de mettre en scène ses images.

Fin 80, la découverte d’un site extraordinaire, les carrières des Baux-de-Provence, opère un tournant fondamental dans son approche et le conduit, à partir de ses propres images ou d’œuvres de grands maitres de l’art, à développer ses installations artistiques en format « grand large ». Depuis cette époque, il continue à investir ce lieu de ses nouvelles réalisations.

« Les technologies multimédias avancées dont nous disposons aujourd’hui m’ont permis, au fil des ans, de créer et de développer un environnement musical et visuel, riche, fort, immersif et interactif. Jouer sur le sensoriel, l’émotionnel pour que le public soit au cœur du spectacle, « sur scène », se déplace dans un espace pluridimensionnel et devienne lui-même partie intégrante de l’œuvre car les images sont partout, aux murs, aux sols, aux plafonds ».

« J’aime avec mon travail, faire découvrir au public des lieux exceptionnels, qui ont une “âme“, une histoire, une architecture particulière. Ressentir le lieu est primordial, pour moi comme pour le public. Quel que soit le lieu, je cherche avant tout à en préserver la spécificité, à m’adapter à son architecture et à ses surfaces d’origine. Capturer « l’esprit du lieu » et le faire vivre, le sublimer par l’image, et non l’inverse ».

A partir des années 2000, il développe ce type d’installations artistiques immersives en cherchant toujours plus à les inscrire dans des lieux d’exception : l’Atelier Cézanne d’Aix-en-Provence, le musée Lapidaire de Narbonne, un centrale électro-solaire désaffectée (Thémis), l’église du Val-de-Grâce (Paris), des Grottes (La Balme), l’Abbaye de San Galgano (Toscane), une ancienne centrale thermique (Leipzig, Allemagne), et bien d’autres encore.

À partir de 2010, en tant que directeur créatif de Culturespaces, il réalise les nouveaux musées numériques permanents dans plusieurs pays : l’Atelier de Lumières (Paris), le Bunker des Lumières (Jeju, Corée du Sud), les Bassins de Lumières (Bordeaux), la Fabrique des Lumières à Amsterdam, Infinity the Lumières (Dubaï), le Théâtre des Lumières à Séoul, le Hall des Lumières à New York, Phoenix
des Lumières in Dortmund et le Port des Lumières in Hambourg.

A partir de 2022, il entame une nouvelle collaboration avec le Kadokawa Culture Museum de Tokyo, où il crée chaque année une nouvelle exposition.

«Depuis la fin des années 80 jusqu’à aujourd’hui, je n’ai cessé de créer de nouvelles installations immersives en intégrant les nouvelles technologies pour offrir à un public toujours plus nombreux la possibilité de vivre l’art de manière plus émotionnelle.

J’espère que de plus en plus de gens apprécieront l’art grâce à ce nouveau type d’expérience immersive et socialisante».

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